4 oct. 2010

Rosalind Crisp invitée des écrans de la danse

soirée du 2 Octobre à l'étoile du nord.
Je ne savais pas à quoi m'attendre car je n'avais jamais rien vu de ce chorégraphe/performer.
Cette femme australienne est assez surprenante, car sa démarche se veut sans contraintes de l'académisme et du déjà - vu.
Le résultat est inesthétique et désarticulé, mais ne se voulant pas dans la représentation, finalement, quand on est au courant, il suffit de regarder le plafond, ou de chercher à écouter "la musique", qui peut se dégager de ces mises en rythme corporelle.
La communication avec le public n'existe que dans un sens performers - public. La démarche intellectuelle est hors cadre de l'émotif, cela ne touche pas, mais ce travail n'en a pas le but.
Bref, une forme d'art particulière où Rosalind, dans sa recherche du "maintenant" ne vit que dans l'éphémère.

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