21 déc. 2010

Retour cette année sur la mort de Staline


J'en avais entendu du bien de La mort de Staline dans l'humeur vagabonde (9 novembre), et je l'avais repéré parmis les sélections d'Angoulême 2011.
Me voilà donc ce matin avec mon café et "mon" livre, affalée sur la canapé, à lire cette étrange histoire, pendant que ma fille s'occupe en gazouillant de profiter de mon inattention pour me chaparder des quartiers de clémentine posés sur la table basse.

Ce qu'il y a de particulier, c'est qu'avec ce sujet comme base, on comprend d'abord que le petit père des peuples à mis trois bons jours avant de mourir d'une attaque, sans que ces "camarades" de la direction centrale ne se précipite trop pour lui venir utilement en aide.
Une mort qui permet de comprendre également le climat et les tensions laissés par la dictature, de montrer l'absurdité d'un régime de terreur, et l'opportunisme si caractéristique de ces bureaucrates assoiffés de prise de pouvoir.

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