Il aurait pu appeler son livre Lucille 2, mais non, il le nomme Renée, et nous détourne un long moment dans la vie de ce nouveau personnage dont on ne comprend pas le repprochement.
Le style reste le même, la mise en page identique, le destin des personnages toujours aussi tragiques, l'impression qu'une peau malsaine vous recouvre et vous hérisse les poils toujours présente!
Cette lecture, plus riche que Lucille, ancre des personnages dans le monde pertubé des êtres qui s'altèrent ou s'affirment selon que leur histoire évévolue ou marque un replis.
L.Debeurme parvient à aborder avec laconisme l’automutilation, le suicide, l'univers carcéral, l'abandon, les relations parentales, l'amour et l'adultère
Les sujets s'ouvrent sans apologue ni point de vue à défendre.

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire