17 nov. 2010

Chester Brown

J'ai choisi de commencé la découverte de Chester Brown par "Je ne t'ai jamais aimé" : je trouvais le titre intriguant.
Tout est surprenant : la mise en forme sur fond de page noires, les petites vignettes qui se trouvent seules sur une page sans vraiment comprendre s'il s'agit d'une sélection de l'auteur.
Le trait est aussi fin que Chester Brown est maigre jeune adolescent.
Un style très épuré pour une histoire discrète qui traite des difficultés de l'auteur à communiquer avec les autres, tant sur le plan amoureux qu'avec ses "camarades de classe". L'image de la mère est assez terrifiante et subtile.
Une belle lecture dont on sort mélancolique et égoïstement heureux de ne pas avoir vécu dans la peau de ce jeune homme.



































 PLAYBOY


Bon... Enchaîner deux lectures autobiographique d'un même auteur n'était peut - être pas la meilleure idée, car immanquablement la tentation de comparer à chaud sévit.
Cette lecture ne m'a pas inspirée beaucoup de chose.
Chester plus vieux symbolisé par un petit diable nous raconte ses tourmentes d'ado avec ses envies sexuelles naissantes soulagées par la "lecture" du magasine.
Il est quasiment tout le temps seul (à la diférence d'I never Liked you) dans une narration peu approfondie.
Un complément à la première lecture, mais sans intérêt particulier seul.

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