5 janv. 2011

Somewhere

Télérama offrait pourtant une critique sans égale : " De l'art de faire, avec du vide, le plein de cinéma. "
(Louis Guichard)


Et bien cette beauté est lente, fastidieuse et peu attachante.
Le personnage, un acteur populaire, vit séparé de sa femme et de sa fille, dans l'opulence des hommes qui sont connus, avec les cow girl, masseuse en tout genre, coup d'un soir à volonté. Il n'est pas heureux, et trouve le temps long.
Le parti pris de la réalisation a été de nous faire subir cette mollesse. Bonne idée, sinon qu'à trop tirer sur la corde on fini par flirter avec Morphée.
Coppola a du mal à s'extraire de ses personnages féminin.

Non, ce vide n'est pas comblé : le film est bien une coquille vide !

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