Une ballade d'amour et de mort : photo et peinture de l'ère préraphaélites.

La photographie est présenté comme nouveau médium lors de l'exposition universelle de 1851. Son rang n'est pas clairement défini, s'agit-il plus d'un élément du domaine de la science ou de l'art?
L'interrogation permet à certain peintre d'observer et d' utiliser la photographie pour enrichir leur peinture.
Il répond assez bien aux exigeances des préraphaélites qui cherchent la restitution la plus juste et détaillée du sujet, tout en étant en extérieur.
Certain peintres comme Wynfield vont même s'essayer à ce nouveau médium.

Le musée d' Orsay nous propose de découvrir les rapprochement et l'interaction entre le mouvement pictural de l'angleterre du milieu du XVIIIe, et la photo.

On y trouve la correspondance de certains paysage, modèles, poésies...

Le catalogue de l'exposition (revue) est très bien faite et éclaire très bien l'exposition en permettant un petit souvenir peu cher (9.50 euros) et bien illustré.

On remarque que le photographe à utiliser le mur du fond pour faire contraster la peau de la petite fille et lui donner son éclat en jouant sur les matières. De la même manière que Millais!