27 mars 2012

Oslo, 31 Aout

Je ne savais rien de plus que la très bonne note de Télérama, et les conseils de "On aura tout vu" qui s'accordaient à dire qu'il ne fallait pas manquer ce film.
L'affiche faisait penser à une histoire d'amour, les premières minutes du film sont assez déroutantes car des voix off parlent de la ville d'Oslo, et de souvenirs, et de gens, sans qu'on sache de quoi il s'agisse vraiment.
Le garçon apparait à l'image, et ne nous quitte plus jusque la fin du film, dans une ambiance à vous tordre les tripes.
Si vous avez aimé Boy A, foncez, vous ne serez pas déçu.
Un film d'après Le Feu follet de Pierre Drieu La Rochelle.
 Ce film est bouleversant, notamment parce qu'il interroge le mode de vie actuel par des clins d'oeil : Battfeil comme moyen de communication entre deux lectures de Proust, la maternité comme idée de construction nécessaire, l'absence d'espoir qui ravage et ne donne lieu à aucunes ambitions.
On est loin d'une ambiance à la "Mince alors"...


1 commentaire:

elo a dit…

Je l'ai vu et il m'a bouleversé aussi... Last day alive, quoi faire?